Re: Petit four de fonderie
Posté : 18 déc. 2019, 23:27
Et ben tiens, je n'arrive pas à éditer mon message précédent, quand je clique sur 'Envoyer' il ne prend pas en compte mes modifs. Ça c'est un coup du karma ...
Après discussion avec Zenos et Jean-Marie, je ne suis plus trop sûr de certaines choses. Mais, ça ne remet pas forcément beaucoup de choses en cause.
- Le faire en tri ? 20A en mono ça n'a pas l'air de déranger Zenos (32A non plus d'ailleurs).
- La durée de vie des résistances chute drastiquement quand on dépasse 1000°C. Donc tant qu'on fait de l'alu ça va, mais si on fait du cuivre, c'est chaud (c'est le cas de le dire). Mais bon, si on reste sur un profil de mission majoritairement alu (et minoritairement cuivre / bronze) ça ne devrait pas être trop gênant. Dans tous les cas, je reste persuadé qu'il faut qu'on prévoie un remplacement facile des résistances (comprendre : trouver un moyen de ne pas les noyer dans la masse, utiliser des connecteurs etc. Penser 'maintenance').
- Zenos a moyen d'avoir du fil chauffant à des prix préférentiels, donc on peut lui demander.
- A priori on a pas de stock de fil chauffant.
- On va casser des creusets. Il faut donc qu'il y ait une évacuation au fond du four pour le métal en fusion. Corolaire : il ne faut pas que le cul du creuset repose sur ce trou, sinon il va se manger des chocs thermiques ... Et là on va casser systématiquement. Il faut une petite "marche" sur laquelle repose le creuset, avec écoulement autour pour aller vers le trou en-dessous. Autre corolaire : il faut bien prendre en compte le fait que ce trou est conçu pour laisser s'écouler le métal ... Donc il ne faut pas mettre en-dessous autre chose qu'un bac rempli de sable. Autre corolaire : le four actuel a son système électrique en-dessous, WTF ? Ah mais lui n'a pas de trou pour l'évacuation du métal en fusion en cas de casse. Ce qui signifie aussi (autre corolaire) qu'il n'est pas très adapté pour débuter, parce qu'il faut savoir ce qu'on fait pour être sûrs de ne pas casser. Bref : effectivement, on ne peut pas le reprendre tel quel.
De plus, plutôt que de se mettre tous les défis sur le dos en même-temps, je pense qu'il serait judicieux de se mettre des jalons, avec des étapes intermédiaires qui permettent d'avoir matière à tester es trucs sans attendre le produit final. Dans cette optique, ce qui me semble jouable, c'est de reprendre le circuit électrique actuel (3kW en mono), modifier uniquement les connexions extérieures, pour le rendre "adaptable" à un autre four, et s'en servir comme plateforme de test. Comme ça, au lieu d'avoir un four complet à faire avant de pouvoir commencer quoi que ce soit, on se concentre sur une sous-partie, en prenant un truc qui marche déjà pour le reste. Juste ... Ben évidemment, cf. point précédent il faudra trouver une agencement différent et ne pas le mettre sous le four. Et une fois qu'on aura réussi à faire une enceinte qui fonctionne avec ce circuit, alors après on pourra envisager de faire un truc plus gros à notre sauce (ou pas, ptet ça va nous convenir, qui sait ?).
Après discussion avec Zenos et Jean-Marie, je ne suis plus trop sûr de certaines choses. Mais, ça ne remet pas forcément beaucoup de choses en cause.
- Le faire en tri ? 20A en mono ça n'a pas l'air de déranger Zenos (32A non plus d'ailleurs).
- La durée de vie des résistances chute drastiquement quand on dépasse 1000°C. Donc tant qu'on fait de l'alu ça va, mais si on fait du cuivre, c'est chaud (c'est le cas de le dire). Mais bon, si on reste sur un profil de mission majoritairement alu (et minoritairement cuivre / bronze) ça ne devrait pas être trop gênant. Dans tous les cas, je reste persuadé qu'il faut qu'on prévoie un remplacement facile des résistances (comprendre : trouver un moyen de ne pas les noyer dans la masse, utiliser des connecteurs etc. Penser 'maintenance').
- Zenos a moyen d'avoir du fil chauffant à des prix préférentiels, donc on peut lui demander.
- A priori on a pas de stock de fil chauffant.
- On va casser des creusets. Il faut donc qu'il y ait une évacuation au fond du four pour le métal en fusion. Corolaire : il ne faut pas que le cul du creuset repose sur ce trou, sinon il va se manger des chocs thermiques ... Et là on va casser systématiquement. Il faut une petite "marche" sur laquelle repose le creuset, avec écoulement autour pour aller vers le trou en-dessous. Autre corolaire : il faut bien prendre en compte le fait que ce trou est conçu pour laisser s'écouler le métal ... Donc il ne faut pas mettre en-dessous autre chose qu'un bac rempli de sable. Autre corolaire : le four actuel a son système électrique en-dessous, WTF ? Ah mais lui n'a pas de trou pour l'évacuation du métal en fusion en cas de casse. Ce qui signifie aussi (autre corolaire) qu'il n'est pas très adapté pour débuter, parce qu'il faut savoir ce qu'on fait pour être sûrs de ne pas casser. Bref : effectivement, on ne peut pas le reprendre tel quel.
De plus, plutôt que de se mettre tous les défis sur le dos en même-temps, je pense qu'il serait judicieux de se mettre des jalons, avec des étapes intermédiaires qui permettent d'avoir matière à tester es trucs sans attendre le produit final. Dans cette optique, ce qui me semble jouable, c'est de reprendre le circuit électrique actuel (3kW en mono), modifier uniquement les connexions extérieures, pour le rendre "adaptable" à un autre four, et s'en servir comme plateforme de test. Comme ça, au lieu d'avoir un four complet à faire avant de pouvoir commencer quoi que ce soit, on se concentre sur une sous-partie, en prenant un truc qui marche déjà pour le reste. Juste ... Ben évidemment, cf. point précédent il faudra trouver une agencement différent et ne pas le mettre sous le four. Et une fois qu'on aura réussi à faire une enceinte qui fonctionne avec ce circuit, alors après on pourra envisager de faire un truc plus gros à notre sauce (ou pas, ptet ça va nous convenir, qui sait ?).