Hello treblig,
AC/DC : courant alternatif ou courant continu, c'est selon.
treblig a écrit :n'a pas encore lu Minaire
Probablement parce que cela
prend du temps à l'auteur pour écrire un bouquin^^.
treblig a écrit :Eric a écrit :D'ailleurs pour les leds, je te propose ces modèles de chez
Lumileds en 700mA (boîtier 3,17 x 4,61 mm).
Ils ne les font plus et distrilec.fr n'en n'a pas non plus. Je me suis rabattu sur Aliexpress (what else?) qui en vend en paquet de 20 mais je ne vais pas commander pendant les fêtes... Il faudra malgré tout trouver plus blanc que du 2700K dans la même série parce que j'ai un peu de mal avec le blanc chaud et l'âge n'arrange rien à l'affaire.
La série
LXA7-PWxx de Lumileds (700mA aussi et mêmes dimensions - boîtier '1812') existe de 3000 à 6500 K. Par exemple, la 5000 K est en vente/stock chez
Farnell. Rendement acceptable de 112 lm/W, sachant toutefois que dans ce domaine, on fait désormais
deux fois mieux.
treblig a écrit :Ce que je n'ai pas vu sur le PCB c'est ce qui est supposé déclencher l'allumage en touchant le luminaire.
Ce n'est pas impossible que cette fonctionnalité soit directement implémentée logiciellement dans le STM 8.
En son temps, Siemens (
'la perfection') proposait des composants dédiés au pilotage de triacs
avec variation d'intensité lumineuse par commande au toucher.
La connexion nommée 'Sensor central unit' du schéma d'application, qui détecte le 50Hz AC que capte le corps humain, était simplement reliée à une partie métallique du luminaire. Quand on la touchait, on pouvait piloter l'allumage, l'extinction et ajuster l'intensité lumineuse de la lampe. Très 70'.
On trouve désormais plutôt des CI pour
capteurs tactiles capacitifs.
À mon sens, si tu refais une carte de contrôle custom à l'aide d'un ESP32 ou similaire, c'est intéressant d'utiliser ce genre de puces dédiées. Vu de l'extérieur ça a l'air très basique, mais souvent ces bébêtes incluent des fonctions avancées de filtrage numérique et un protocole d'analyse et de validation des signaux pour une fiabilité de détection et une immunité aux parasites maximale, qui sera souvent meilleure que ce que l'on peut inclure dans un µC d'usage général avec entrées logiques ou analogiques.
Cela étant, rien n'interdit de programmer son propre filtre FIR en bare metal dans le µC. Pour la science, évidemment.
Addendum : le module arduinocompatible
KY-036 est vendu comme étant un 'Metal Touch Sensor'. Ça se tente vu le prix, même si la dénomination est un peu surfaite et le niveau de fiabilité légitimement sujet à caution, car il s'agit d'un simple darlington KSP13 associé à un LM393. Pour éviter la mort prématurée du composant par décharge électrostatique, j'ajouterai quand même une résistance de 1 à 10 MOhms en série avec la base (= la patte repliée sur le boîtier), et toujours en partant de la base, deux diodes de signal vers la masse et l'alim (anode de D1 vers la masse, cathode de D2 vers l'alim).
treblig a écrit :Si le PCB est mort, je passerais probablement aux LED 2812B avec un ESP32 pour faire un éclairage d'ambiance.
Si par chance les ZXLD1356 sont encore OK, ils sont aisés à adapter aux caracs de nouvelles leds, simplement en changeant Rs et en PWMant leur broche 'ADJ' (2,5 VDC max) pour régler l'intensité lumineuse de 24 à 200% de 'I OUTnom'.
Eric
... élève des puces (en silicium)
) qui traînent à l'atelier, ça doit faire grosso modo moitié moins que les LED du PCB (0.7A * 3V = 2.1W) une résistance en série devrait absorber le W de trop.