Re: Conseils pour caméra espionne
Posté : 20 sept. 2023, 16:18
Il est important de noter que l'utilisation de caméras espion ne fait pas du tout partie des activités de l'Electrolab.
L'Electrolab est un espace dédié à la recherche, à l'apprentissage et au partage de connaissances dans le domaine de la technologie, de la science et de l'industrie.
Nous ne cautionnons pas l'espionnage à l'insu des individus. Il est important de respecter la vie privée et l'intégrité des personnes. Il est primordial de ne pas violer leur confiance en menant des actions secrètes pour les surveiller ou les suivre de manière indésirable.
Outre l'aspect moral, un petit rappel au niveau légal :
En France, l'utilisation de caméras espion est soumise à des lois strictes. Selon l'article 226-1 du Code pénal français, l'utilisation de dispositifs d'enregistrement ou de transmission de l'image à l'insu d'une personne et sans son consentement est punie d'une peine maximale de 1 an d'emprisonnement et d'une amende de 45 000 euros.
De plus, l'article 226-2 du Code pénal prévoit que l'utilisation de ces dispositifs dans des lieux privés, tels que les domiciles ou les vestiaires, est passible d'une peine maximale de 2 ans d'emprisonnement et d'une amende de 60 000 euros.
L'Electrolab est un espace dédié à la recherche, à l'apprentissage et au partage de connaissances dans le domaine de la technologie, de la science et de l'industrie.
Nous ne cautionnons pas l'espionnage à l'insu des individus. Il est important de respecter la vie privée et l'intégrité des personnes. Il est primordial de ne pas violer leur confiance en menant des actions secrètes pour les surveiller ou les suivre de manière indésirable.
Outre l'aspect moral, un petit rappel au niveau légal :
En France, l'utilisation de caméras espion est soumise à des lois strictes. Selon l'article 226-1 du Code pénal français, l'utilisation de dispositifs d'enregistrement ou de transmission de l'image à l'insu d'une personne et sans son consentement est punie d'une peine maximale de 1 an d'emprisonnement et d'une amende de 45 000 euros.
De plus, l'article 226-2 du Code pénal prévoit que l'utilisation de ces dispositifs dans des lieux privés, tels que les domiciles ou les vestiaires, est passible d'une peine maximale de 2 ans d'emprisonnement et d'une amende de 60 000 euros.